Un rêve que je fais souvent et depuis que je suis enfant,
c’est le rêve de voler dans les airs. Le décollage est toujours le même, j’ai
devant moi un grand espace, un champs ou une route très large, je commence par
écarter les bras, puis je me mets à courir de plus en plus vite, jusqu’à ce que
je ne sente plus le sol sous mes pieds et que les bras toujours en croix je
m’élève dans le ciel. J’ai la sensation de voler haut, de voir le monde en bas,
tout petit, je ressens une vraie griserie, je m’approche de la vraie liberté,
comme un oiseau, j’ai l’impression de pouvoir aller où je veux. Le vent me caresse
le visage, mes vêtements flottent comme des drapeaux, je monte toujours plus
haut jusqu’à ce que le rêve s’éternise, jusqu’à ce que le rêve se finisse. D'autres fois, je m’envole pour échapper à un danger, pour semer mon adversaire, le
voir se dépatouiller en bas alors que je souris d’être déjà si loin de lui. Mes
bras écartés, je coure de toutes mes forces, quel bonheur ce décollage
sensationnel qui me surprend à chaque fois ! Petite, il m’arrivait de ne
plus savoir si c’était un rêve ou la réalité et de me persuader que je savais
voler. Depuis, je vous rassure, je fais bien la part des choses, mais n’empêche
que le plaisir est toujours le même et que l’envol est un bonheur suprême…
Libellés
365 petites nouvelles du jour
(9)
366 réels à prise rapide
(297)
Ecriture
(18)
Le défi du samedi
(30)
les plumes
(1)
Mes lectures
(2)
Petits délires du jour
(14)
Poèmes au grès du vent qui les sème
(6)
mercredi 30 mars 2016
dimanche 6 mars 2016
4 mars 2016, Aujourd’hui oreilles

vendredi 4 mars 2016
3 mars 2016, Aujourd’hui Fragment d’aujourd’hui raconté en statistique
Combien de chance,
statistiquement, avant nous de mener notre projet à son terme ? Jusque là,
je la situe à 90 pour cent, parce qu’il y a quelques barrières à passer. Et
surtout un gros travail à effectuer, vider ce grenier de tout ce qui l’encombre,
isoler le plancher, poser des fenêtres et des portes, carreler le sol, refaire
l’électricité, décorer l’intérieur… alors peut-être un jour, je pourrais poser
ma plaque de sophrologue sur ma porte… Ah, oui, il faut aussi que je réussisse
ma formation ! Mais « même pas peur »… Alors, statistiquement,
je me donne 100 pour cent de chance de réussite, quand on veut, on peut !
2 mars 2016, Aujourd’hui difficile de
Une journée bien
remplie… difficile de se poser un moment mais j’ai tout de même pu prendre
quelques minutes pour une séance de sophrologie. Difficile aussi de ne pas
avoir l’esprit focalisé par l’opération de mon amie qui s’est passée aujourd’hui
et dont je n’aurai des nouvelles que demain. Difficile de n'être pas proche d'elle par la pensée et de lui envoyer des tonnes d'ondes positives pour qu'elle se remette vite de ce qui lui arrive !
1er mars 2016, Aujourd’hui un compliment
Un petit repas
fraternel après un passage chez une amie que nous avons gâtée comme elle le
méritait.
Rougir au
compliment, c’était souvent ma réaction dans ma jeunesse, maintenant, je souris
simplement, dis parfois merci, et la simplicité a remplacé la confusion.
Inscription à :
Articles (Atom)