A 11 h 30 précise, nous
étions, toujours mes frères, sœur et moi, dans un moment qui aurait pu être
difficile mais qui par notre grain de folie fraternelle s’est déroulé dans la
joie et la bonne humeur. A 11 h 30 précise, j’essayais comme je pouvais de stopper un fou-rire provoqué par des
délires d’un de mes frères alors que nous étions entrain de signer le dernier
acte. Entendez, l’acte de succession après le décès de notre père qui, chaise
vide à l’appui, était bien présent et comme il n’était jamais le dernier à rire
de nos bêtises, il devait se bidonner de son perchoir. Le notaire partageant ce
moment de délire, facile, c’est un ami,
m’a même fait un beau compliment : Béatrice, quand tu ris, on dirait le
rire de ton père… qui dit qu’il n’a pas entendu les deux ???
Nombre de mots :
144
Réel : oui
Sur le vif :
oui
Consigne du jour :
oui
C'est une belle idée, de penser que ton papa rit encore dans ton rire...
RépondreSupprimerJ'aime à y croire, en tous cas...
Bises ma Prudence
¸¸.•*¨*• ☆
J'y crois tout court...
SupprimerCe sont avec des moments ainsi que nous poursuivons la mémoire de ceux qui sont partis avant nous.
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