Promenade dans les sentiers
pierreux du village d’à côté, une belle balade sous le soleil d’un gentil mois
de novembre. A croire qu’il veut se faire aimer ce mois, celui que je redoute
le plus et que j’ai parfois tant de mal à vivre. Surtout qu’il m’a emporté mon
petit papa l’année dernière et que je ne peux que lui en vouloir un peu plus.
Pierre à pierre, je ressors de ce deuil grandie, et je m’étonne de sentir si
souvent sur mes épaules, ses mains… Je crois, papa, que depuis que tu es de l’autre
côté de la rive, je te sens si proche de moi que je t’entends encore me dire « je
t’aime » dans tous les silences doux que tu souffles sur moi…
je suis émue par ton texte. Tes mots sont beaux!
RépondreSupprimerMoi aussi, il m'émeut beaucoup ton texte si doux et plein d'amour!
RépondreSupprimerTon texte me touche car c'est tout pareil pour moi (sauf que ça fait 10 ans et là, le temps est presque immobile)
RépondreSupprimerTrès beau, ma Prudence.
RépondreSupprimerje te serre dans mes bras
¸¸.•*¨*• ☆
Sans parole....je ne peux te dire toute l'émotion qui m'étreint pour ton beau texte,surtout ce jour anniversaire ,lorsqu'il est parti pour ce grand voyage sans retour... pouvoir m'endormir sur son sourire chaque soir.......Merci ma soeur de coeur...
RépondreSupprimerPour une raison presque similaire, je n'aime pas le mois de novembre, et tes mots me touchent, Prudence. En fait, je n'aime pas le dernier jour de ce mois, mais je ne peux qu'aimer le premier jour, car mon fils aîné est né un 1er novembre.
RépondreSupprimerJe t'embrasse fort, Prudence.