« Je vais te
calmer la tête moi, non mais tu fais moins le malin, là, comme ça avec deux
clous dans ta rainure… » Sans oublier les « ouille, zut, non d’un
rat » et autres gros mots qui valsent depuis ce matin dans mes oreilles et
qui sortent directement de la pièce où je ne compte plus les coups de marteau.
La pose d’un parquet n’est pas toujours chose simple et mon ouvrier de cœur s’en
donne si fort qu’il en a plein la tête de se pencher sur ce plancher. Les
genoux en vrac, mais le sourire encore en surface, il termine sa journée sur
les rotules mais content de l’avoir posé enfin ! et moi, la tête pleine d’amour
et de reconnaissance pour l’ouvrier de mon cœur, je viens admirer le travail et
féliciter ce bon travailleur.
Oui, les bons travailleurs ont besoin d'encouragements. (sourire)
RépondreSupprimerPurée, il allait quand même pas se laisser emmerder par des lames de parquet ! nan meo !
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
On peut aussi avoir la tête pleine de bons souvenirs!...........
RépondreSupprimerEt faut faire gaffe au dos, aussi dans ce genre d'exercices, hein!
RépondreSupprimerGros bisous