jeudi 31 décembre 2015

31 décembre 2015 Aujourd'hui ce qui demeure immobile

Comme un temps suspendu, dépaysés de notre quotidien, nos regards se posent sur cet environnement étranger ou nous passons ce dernier jour de l'année. Des maisons aux toitures pointues, des couleurs pour nous, parfois saugrenues, des forêts aux arbres gigantesques et identiques  dont les troncs n'en finissent pas de chercher le ciel... mais ce qui demeure immobile dans cette partie du monde c'est l'amitié internationale que nous ressentons pour ce couple d'amis que nous avons tant de plaisir à revoir !

30 Décembre 2015 Aujourd'hui une phrase que j'ai dite

On  devrait noter tout ce qu'on dit, surtout lorsque une phrase sortie spontanément de notre bouche, déclenche un fou rire monumental à celui qui partage notre vie ! J'adore ces rires qui explosent de la sorte et revitalisent  notre complicité partagée. Ensuite, rien de mieux que nos regards qui se rencontrent,  rieurs et brillants, que nos deux mains qui se touchent et ce bisou tout doux qui s'échappe pour se poser sur la bouche dont cette phrase est sortie!

mardi 29 décembre 2015

29 décembre 2015, Aujourd’hui on ne vous la fait pas

On appelle ça l’expérience… je dirais donc qu’aujourd’hui on ne me la fait plus… on ne me fait plus de manipulation de l’esprit, plus de chantage affectif, plus de proposition déplacée, plus de d’intimidation, plus de pression pour rien, plus de duperie sans que je le veuille, plus de supercherie sans que je consente… Il faut savoir se servir de ses erreurs, de ses faiblesses, des ses fourvoiements passés pour réaliser qu’un jour, à moi, on ne me la fait pas !

Mais je suis bien certaine de tomber encore dans le panneau de son regard de chien battu quand il est triste ou perdu et que je saurai me laisser amadouer par toutes ses preuves d’amour quand l’homme que j’aime, lui, me la fera ! Pour le reste, on ne me la fait pas ! Pas même ce cher Raymond... 

lundi 28 décembre 2015

28 décembre aujourd'hui bras

Après tout ce monde et le remue ménage qui en découle : aujourd'hui c'était fête à bras, quelques heures de ménage pour remettre de l'ordre dans la maison et se retrouver ensuite sur le canapé pour un moments douceur café et revivre en boucle ces trois jours passés !

dimanche 27 décembre 2015

27 décembre 2015, Aujourd’hui un idéal de traverse

Qu’est ce qu’un « idéal de traverse » ? Un moyen de transport sécurisé et confortable ? Un chemin fleuri qui nous emmène à bon port ? Un sentier plein de belles surprises où le meilleur est pour la fin ? Ou tout simplement accepter que ce que l’on vit est l’idéal et que tout ce qu’on traverse nous emporte vers le bonheur… avec où sans embûche, l’important étant d’y arriver ! Un idéal qui traverse mon cœur c’est tous ces derniers jours de partages, cette maison remplie de rires et ces tout petits qui courent un peu partout… que cet idéal traverse encore tous mes âges ! 

samedi 26 décembre 2015

26 décembre 2015, Aujourd’hui vous auriez dû lire votre horoscope qui vous aurait prévenu :

Mon horoscope n’aurait rien pu me dire de plus que ce que j’ai vécu, n’aurait rien pu m’annoncer en plus de ce que j’ai ressenti lors de cette belle journée familiale… Peut être que si j’avais su, que pour une fois, mes enfants seraient non seulement à l’heure, mais en avance comme ce fut le cas, j’aurai pris le temps de me lever plus tôt, de déjeuner moins tard, de courir chercher une partie de mon repas au lieu d’y aller en marchant, de fignoler la table, de descendre les cadeaux auprès du sapin… mais tout s’est enchaîné si vite que tout le monde a mis la main à la pâte et que cette journée est passée à une vitesse fulgurante, proche de celle de la lumière qui brille encore dans mes yeux ce soir… Merci mes Amours, je vous aime si fort !


vendredi 25 décembre 2015

25 décembre 2015, Aujourd’hui ce qui brille

Le soleil… le soleil de ce matin qui nous a enclin à faire une belle randonnée dans les collines de Marsanne… c’est bien la première fois que je me retrouve un matin de Noël, en tenue de randonneuse à marcher d’un bon pas sur un chemin montant et rocailleux, pleine d’une énergie débordante et d’un sourire attaché à mes lèvres. Notre dernière fille nous rejoint  avec son chien, et nous voilà, grimpant les vallons, à arpenter la terre sous un ciel clair et une température clémente pour un jour de Noël. Quelques milliers de pas plus tard, nous retrouvons notre voiture pour rentrer manger un bout et accepter avec humilité, la sieste qui s’impose.  Ce soir, arrive une partie de la troupe, demain, le reste débarque avec la ferme intention de passer la meilleure journée du monde et de partager autant les cadeaux que les bons moments d’une extraordinaire réunion de famille. Ce soir, mes yeux brillent d’envie de nous voir tous unis et heureux de s’aimer ainsi… 

24 décembre 2015, Aujourd’hui quelque chose de triangulaire

Aujourd’hui, je suis tombée dans le triangle des Bermudes, un phénomène rare et mystérieux qui a traversé ma vie de part en part. Je me suis crue en troisième dimension, dans une galaxie supérieure où tout se liguait contre moi pour me faire passer pour le capitaine fou perdu au milieu de la mer : lors de courses, au départ ordinaires, je me retrouve après plusieurs magasins à remuer terre et cieux dans une grande surface, à la recherche de ce petit boitier magique, qui lorsqu’il disparaît de notre vue, nous manque cruellement et fait de nous un être tronqué, erroné, perdu au milieu d’un triangle effroyable, celui qui traverse ma tête, secouant mes pensées, basculant mes certitudes, bafouant ma raison et plus rien ne se retrouve à sa place dans mon esprit jusque là bien rangé. Persuadée d’avoir laissé tomber à mon insu, ce petit appareil magique, me voilà, désespérée à hanter le magasin, à chercher sous les rayons, à apostropher le gardien, à donner mes coordonnées à l’accueil, à catastropher les conséquences, à ne plus savoir le cours qu’ont pris les choses cinq minutes avant ce forfait !

Paniquée et orpheline de ce boitier, je finis par rentrer chez moi, espérant survivre aux foudres de l’être cher qui finit par me convaincre que l’Alzheimer me guette… La seule chose à faire étant d’annuler cette foutue puce, me voici certaine de passer Noël sans possibilité de « smsser » la terre entière pour lui souhaiter un bon réveillon. Mais la magie de Noël opère, le triangle infernale se déforme sous les pouvoirs de ma fille, qui prévenue,  me rappelle que la dernière fois que je l’ai eu avec mon téléphone adoré, je n’étais pas dans ce grand magasin en question, mais chez ce petit primeur que j’ai visité en premier et que je me dépêche de joindre… J’apprends avec soulagement que mon objet fétiche, celui qui déborde de photos de mes petites filles, qui garde avec lui les contacts de ceux que j’aime, s’est retrouvé perdu au milieu des salades et sauvé par le seul client honnête qui passait par là. Il m’attend donc à la caisse. Bien déterminée à sortir de ce triangle diabolique, je cours le chercher et remercie sans fin ce joli coup du sort de la magie de Noël… 

mercredi 23 décembre 2015

23 décembre 2015, Aujourd’hui petite violence

Si l’essentiel est d’être cohérent avec soi même, il n’est nullement nécessaire de se faire violence. Le tout étant de ne pas réfléchir sous l’effet de la peur, mais plutôt sous la confiance que l’on se fait et d’avancer toujours droit devant, afin que notre désir de vie devienne réalité. Donc aujourd’hui, comme les autres jours, pas de petite violence qui brusque les choses, juste de la douceur, un peu d’organisation lors des courses de Noël, du rangement au fur et à mesure, et plein de bons moments en prévision pour cette fin d’année que je souhaite belle, bonne et pleine d’énergie positive à tout le monde. 

mardi 22 décembre 2015

22 décembre 2015, Aujourd’hui provisoire qui dure

Au début, on ne sait pas qu’on va s’aimer pour la vie… on se dit on verra bien et on avance sur ce chemin sans être certain que c’est le bon, que celui de gauche pourrait être  plus confortable ou que celui de l’autre côté nous donnerait plus de plaisir. On se dit que c’est provisoire, qu’on attend de voir, qu’on va s’engager plus tard, que tant que cela nous convient on reste encore jusqu’au soir, le soir d’un lendemain qui dure et nous amène à l’âge mûre où les promesses lancées en l’air prennent tournure, où l’on s’aperçoit que ce provisoire dure, où l’on voit se fabriquer une histoire qui se prolonge au soir suivant sans qu’on ne prenne juste le temps de se dire que cet Amour c’est pour toujours. Et puis un jour, on réalise enfin que l’homme qui jalonne avec nous sur ce chemin est toujours le même et que si il était encore là demain, ce serait une vraie aubaine… 

lundi 21 décembre 2015

21 décembre 2015, Aujourd’hui il parait que…

Il parait que les blondes sont moins intelligentes que les brunes… et bien c’est une rumeur complètement infondée. En effet , il est souvent judicieux de passer pour une gourde, juste pour voir la réaction de l’autre et savoir en soi même que nous avions bien compris la blague… de blonde. Vous vous doutez bien que pour dire une chose pareille, je suis blonde et fière de l’être…

Il parait que… il semble bien…. Rien n’est moins sure, mais en cas de doute, évitons de lancer des rumeurs sur telle ou telle personne ou chose... et restons comme le sage  qui n’a rien vu, rien entendu et rien dit… ainsi les vaches seront bien gardées… 

20 décembre 2015, Aujourd’hui collection de regards

Comme il est bon, parfois de porter un autre regard sur le monde qui nous entoure. Dont l’intérêt de cette collection de regards possibles sur des situations similaires. Ainsi un regard doux et tolérant permettra une compréhension plus facile de ce qui arrive, un regard questionneur et curieux, nous aidera à trouver une solution au problème qui se pose, un regard tendre et aimant, enverra des tonnes d’ondes positives sur l’être regardé, un regard de compassion permettra de se mettre à la place de l’autre. Tant de regards tous autant appuyés, tous autant donnés avec la conviction que nous sommes à notre place et que le regard  que nous portons sur les autres nous renvoie en direct les sentiments qui l’inondent... dans notre cœur… Ce regard clément animé d’une seule source : l’Amour

samedi 19 décembre 2015

19 décembre 2015, Aujourd’hui le sens de l’adaptation

Sans l’adaptation que de souffrance en plus dans cette vie… sans ce sens de l’adaptation à toutes les situations qui nous arrivent, comment pourrions nous nous en sortir ?

Trois petites filles à garder, une maison sans dessous dessus, des jouets de partout et des cris appelant « Moona » environ toutes les minutes, mais quel bonheur de les avoir quelques heures, de les voir évoluer, grandir, jouer. Et puis pouponner avec la dernière, se rappeler comment on donne un biberon, se souvenir des sourires aux anges de ses propres enfants tout en regardant la frimousse du petit clone de mon fils qui dort dans mes bras. Calme, sérénité avec en suspension ces petites touches enfantines qui ravissent la maison et mon cœur… 

18 décembre 2015, Aujourd’hui ce que j’ai laissé tomber

Ce que j'ai laissé tombé c'est un gros « merde » quand j’ai appris la nouvelle, un gros soupir avec plein de compassion et plein de questions qui se sont bousculées dans ma tête : pourquoi elle ? Pourquoi si jeune ? Pourquoi cette maladie ? Pourquoi tant d’épreuves pour une seule personne… ??? et puis j’ai repris mon énergie que je lui ai fait passer, j’ai choisi de positiver pour la soutenir et l’encourager à rester forte devant l’adversité… à ne pas se laisser faire, à faire réagir son corps et son esprit afin de combattre ce mal et de le virer le plus vite possible ailleurs. Cette bestiole qu’on  appelle « cancer » et qui tisse sa toile au profond d’un être sans répit, sans pitié, nous allons l’enrayer, la détruire, la réduire en poussière et faire gagner la force, la vie, l’envie d’aller de l’avant et de reprendre son équilibre. Alors, toi l’amie chère, dont cette harmonie est mise à rude épreuve, je veux t’aider, te servir d’appuis, te porter parfois afin que tu aies la force de repousser l’ennemi 

jeudi 17 décembre 2015

17 décembre 2015, Aujourd’hui un pli

C’est plusieurs plis qu’elle avait la vache que je suis entrain de peindre à mon cours de dessin, plusieurs plis, des gros, des petits, des clairs, des foncés et je joue des couleurs pour les rendre le plus réels possible. C’est une journée qui n’a pas fait un pli : gymnastique ce matin après une demie heure de sophro, repas entre amies, cours de dessins entre copines, et ce soir inauguration de l’église du village d’à côté où je dois filmer la plus grande partie de la soirée. Et bien ce soir, je pense qu’à l’heure de m’endormir, je ne devrais pas faire un pli et sitôt les yeux fermés, je tomberai dans les bras de Morphée… 

mercredi 16 décembre 2015

15 et 16 décembre 2015, Aujourd’hui faudrait crier et tissus

Vendre du tissu à la criée. … il est beau mon tissu, le rayé, le fondu, venez en profitez, le prix est doux pour sa qualité… vendre du tissu à la criée comme une poissonnière au marché… venez toucher, venez caresser la fibre et la matière sans aucune manière… venez, acheter ce soyeux, ce joli, ce morceau de coton pour vous en faire un nid… Et prenant à partie ce vendeur un peu fou, j’ai payé un bon prix pour acheter son stock et je suis repartie avec sous les bras des rouleaux de draps de toutes les couleurs, des étoffes indiennes pour y faire des saris, des coutils, des lainages pour en faire des couchages et toutes sortes de textiles pour à peu près tous les styles.  Je me remets à la couture pour mon plaisir et pour l’aventure de venir vendre à la criée, sur le marché, mes œuvres taillées dans ces tissus qu’un vendeur qui criait m’a vendus… 

lundi 14 décembre 2015

14 décembre 2015, Aujourd’hui gens sans importance

Aujourd’hui, j’ai mangé avec des gens sans importance lors d’un petit repas de Noël que nous avons organisé pour eux. Aujourd’hui, j’ai parlé avec des gens sans importance, j’ai partagé leurs rires, leurs chansonnettes, leurs desserts et le petit cadeau que nous nous sommes offert. Aujourd’hui, ces gens sans importance, nous les croisons souvent, au coin d’une rue ou dans nos villages, nous les regardons à peine et nous ne voyons pas toujours leur pas lourd et leur peine. Aujourd’hui, ils sont devenus des gens très importants qui partageaient un repas de Noël. Une journée qui a fait reculer de quelques pas leur solitude, quelques heures qui les ont sortis de leur isolement. Des instants qui leur ont rendu l’essentiel : être considérés par tout plein de gens importants ! 

dimanche 13 décembre 2015

13 décembre 2015, Aujourd’hui irréel.

Dimanche irréel, dimanche sans pareil, avec juste une envie de ne rien faire, avec juste une envie de traîner de pièce en pièce, de passer du temps sur rien, un peu trop d’ordinateur, un peu trop de rien du tout pour une journée qui s’éternise sans rien apporter de plus qu’un peu de repos, qu’un peu de vide dans une tête bien remplie ces derniers temps. Une journée irréelle pour moi, souvent bien active, une journée où je n’ai fait que des broutilles. Comme ça fait du bien aussi de s’enlever la pression et de se dire que demain est « un autre jour »… je vous souhaite à tous des journées comme ça, irréelles… 

12 décembre 2015, Aujourd’hui est un conte de fées

Quel joli thème que le « conte de fées », j’ai parfois eu l’impression d’en vivre un dans ma vie, et lorsque je me retourne sur mon passé, je me dis que j’ai eu la chance de trouver le prince charmant, je me dis que j’ai eu aussi le temps de vivre des véritables histoires merveilleuses avec mes amis, mes amours. Et que si on garde l’âme romantique, le conte de fées nous comble toute notre vie. Oui, je sais, je suis un peu « fleur bleue » mais même si les romantiques disparaissaient, je voudrais être la dernière et faire pousser encore et encore des bleuets aux endroits les plus perdus de notre terre. 

11 décembre 2015, Aujourd’hui reproches

Voilà bien longtemps que nous ne nous sommes pas disputés nous deux… à peine un mot plus haut que l’autre et surtout plein de bons moments partagés. Sans reproche, sans critique de ce que fait l’autre. C’est l’intérêt de bien se connaitre et de s’aimer comme nous sommes. Et puis ce mot, je le trouve négatif, il sonne mal, il donne envie de ne pas le prononcer, de ne pas le lire, de ne pas l’entendre. Quoi de plus pénible que ceux qui font des reproches à tout le monde, comme ça, sans raison parce que la vie leur pèze ou qu’ils n’ont pas compris combien le positif était important dans leur vie. Alors pas de reproches, que des compliments à tous ceux que j’aime, à tous ceux qui sont pour moi si importants… 

10 décembre 2015, Aujourd’hui de l’eau

Plusieurs jours qu’il ne pleut pas chez nous et j’avoue qu’aujourd’hui ça m’arrange : ma remorque est pleine de meubles rapportés de mon séjour à la villa de mes parents et je ne compte pas les enlever avant que notre fils vienne les chercher demain. Alors pas d’eau pour le moment, c’est plutôt une aubaine pour moi. 

09 décembre 2015, Aujourd’hui j’écris en CAPITALES un projet minuscule.

Tout petit petit ce projet : celui d’  « un jour éditer mon livre »…. Aurais-je la volonté, le courage, le temps, l’intention, l’envie, le désir, mais sans doute l’appréhension de le faire… ?

Je pourrais écrire ce petit, tout petit projet en CAPITALES pour qu’il devienne une priorité… affaire à suivre, qui vivra verra ! En attendant, tant de projets à vivre, une formation, des voyages en perspective, des rencontres, des journées en famille, des moments avec nos petites filles, un séjour en amoureux, des rangements à gogo d’archives à trier, plein de livres à lire et le projet prochain est celui de Noël alors je les prends un par un et j’y vais très sereine… 

08 décembre 2015, Aujourd’hui foule

Dans la foulée du départ pour remonter vers le nord, une ville où ce soir la foule sera présente dans les rues pour la fête des lumières… Du coup comme tous les lyonnais, nous mettrons des lampions à nos fenêtres en signe de solidarité, d’amour, d’amitié avec tous ceux qui nous entourent et qu’on aime… 

lundi 7 décembre 2015

07 décembre 2015, Aujourd’hui phrase que l’on m’a dite

« Pourquoi les gens ne guérissent pas ? » voici une phrase que je viens de lire par hasard, en faisant des recherches et qui me laisse perplexe… d’après Maria de los Angeles Rodeiro… cette phrase m' interpellant, j’ai trouvé un texte d’où elle est extraite et une fois n’est pas coutume, je vous le laisse en copie… ne le lisez que si cette phrase vous interpelle aussi…

Un médecin intuitif partage avec nous sa vision unique de la raison pour laquelle les gens ne guérissent pas. Il a longtemps pensé que tout le monde voulait être guéri. Mais il a fini par se rendre compte que « la guérison était très désagréable ! »
Les obstacles à la guérison comprennent le fait d’abandonner de vivre dans le passéde cesser d’être une victime, et la peur du changement. Diriger notre pensée et notre énergie sur notre passé se fait au détriment de nos cellules et de nos organes qui ont besoin d’énergie pour fonctionner et guérir.
La guérison exige de vivre dans le présent et de récupérer l’énergie piégée dans nos traumatismes et dans nos blessures. Ce médecin dit que la seule raison de nourrir et de garder le passé vivant, c’est l’amertume de ce qui s’est passé.
Refuser de pardonner à un évènement ou à une personne du passé produit des fuites d’énergie. Le pardon guérit les fuites. Le pardon n’a rien à voir avec le fait de ne pas responsabiliser les autres pour les blessures qu’ils ont causées.
Il a plus à voir avec la liberté de la personne qui se perçoit comme une victime.
Quand nous arrivons à voir un événement douloureux de notre vie comme un message ou un défi plutôt que comme une trahison personnelle, l’énergie de vie liée à cet évènement reflue vers les circuits énergétiques de notre corps physique.
Les gens ne guérissent pas parce qu’ils ne se sont pas libérés de l’illusion d’être une victime. Trop souvent, les gens obtiennent du pouvoir sur les autres grâce à leurs blessures parce qu’ils ont trouvé que ça leur apportait du soutien. Les blessures deviennent alors un moyen de manipuler et de contrôler les autres.
La guérison exige souvent des changements de mode de vie, d’environnement et de relations. Le changement peut être effrayant !!!
Il est facile de rester dans un circuit d’attente, en affirmant que l’on ne sait pas quoi faire, alors que c’est rarement vrai. En fait, lorsque nous restons dans un circuit d’attente et que nous savons exactement ce qu’il faut faire, c’est que nous sommes terrifiés par le fait d’agir en conséquence…
Le changement est effrayant, et le temps d’attente donne un sentiment de sécurité, alors que la seule façon d’acquérir véritablement ce sentiment de sécurité est d’entrer dans le tourbillon des changements et de se sentir vivant à nouveau.
La guérison nécessite une action. Manger, l’exercice quotidien, prendre le bon médicament produisent des changements sains dans le physique.
Relâcher le passé, laisser tomber les emplois stressants ou les relations inappropriées sont des actions qui libèrent l’énergie du corps.
Ce qui améliore l’une améliore l’autre, la puissance physique et l’énergie sont intimement liées.

Même le processus de la mort auquel nous sommes tous confrontés, peut devenir un acte de guérison des vieilles blessures qui se libèrent en résolvant les questions laissées en suspens avec ses proches.

mercredi 25 novembre 2015

25 novembre 2015, Aujourd’hui tête pleine de

« Je vais te calmer la tête moi, non mais tu fais moins le malin, là, comme ça avec deux clous dans ta rainure… » Sans oublier les « ouille, zut, non d’un rat » et autres gros mots qui valsent depuis ce matin dans mes oreilles et qui sortent directement de la pièce où je ne compte plus les coups de marteau. La pose d’un parquet n’est pas toujours chose simple et mon ouvrier de cœur s’en donne si fort qu’il en a plein la tête de se pencher sur ce plancher. Les genoux en vrac, mais le sourire encore en surface, il termine sa journée sur les rotules mais content de l’avoir posé enfin ! et moi, la tête pleine d’amour et de reconnaissance pour l’ouvrier de mon cœur, je viens admirer le travail et féliciter ce bon travailleur.   

mardi 24 novembre 2015

23 et 24 novembre 2015, Hier séduction, Aujourd'hui j'étais un animal quand

Est-ce que tout va si mal, est-ce que rien ne va bien ? L’homme est un animal me dit-il. Et après tous ces événements dramatiques comment pourrais-je lui dire le contraire. Dix jours de nouvelles, dix jours de reportages, les mêmes qui passent et repassent, et l’esprit obstrué, les pensées négatives mangeant dans notre crâne, je n’avais qu’une solution pour reprendre le cours de notre vie sans se laisser gagner par tous ces parasites… N’empêche qu’il a fallu que je me fâche, trop c’était trop, y’a bien un moment où on peut respirer, souffler, changer d’air. Juste le temps de se refaire une santé. Alors j’ai éteins la télé, j’ai fermé la radio, j’ai balancé loin son Smartphone, j’ai caché la tablette, j’ai fait taire les voisins. Et je lui ai dit simplement, de ma voix enjôleuse, presque comme si je voulais le séduire : « je voudrais déjeuner en paix ! » 

lundi 23 novembre 2015

22 novembre 2015, Aujourd’hui suffirait de trois fois rien pour que

Un dimanche à ne rien faire, tenue jogging et pantoufle… lecture canapé et thé vers 17 h, un feuilleton en replay, un petit repas télé. Nous sommes passés du lit à une chaise, d’une chaise à un fauteuil, d’un fauteuil au canapé, pour retourner dans notre lit, pour une bonne nuit de sommeil. Il suffit parfois de trois fois rien pour faire une journée cocoon , la première froide de la saison nous l’avons vécue à la maison ! 

dimanche 22 novembre 2015

21 novembre 2015, Aujourd'hui une chance.

Une chance mais aussi du travail, Aujourd'hui, lors de la remise de diplôme de notre fille, la surprise fut de taille : promue major de promo avec une superbe moyenne ! Elle-même n’en revenait pas, et nous, parents, fiers de notre progéniture, nous buvions du petit lait et regardions notre dernier bébé avec des yeux rieurs et plein d’amour. La sensation d’un devoir accompli, mais surtout la chance d’y être arrivé. Bravo ma fille, et Ouf, ça c’est fait, on va pouvoir vraiment se reposer… 

vendredi 20 novembre 2015

20 novembre 2015, Aujourd’hui manger, boire, fumer, respirer, consommer.

Manger : un peu trop hier au soir, le gâteau au chocolat était trop gros, mais si bon !
Boire      : juste une goutte de beaujolais nouveau ! qui, à en croire les connaisseurs, est parait-il pas mauvais cette année !
Fumer : difficile pour moi, c’est une de mes rares intolérances, je n’ai jamais fumé et je suis fâchée avec la fumée des autres…désolée…
Respirer : sans doute, parce que je ne fume pas, je respire, je respire, j’inspire, j’expire et grâce au yoga et à la sophrologie, je le fais de mieux en mieux !

Consommer : il y a tant de sortes de consommations ! Consommer malin, intelligent, de façon raisonnable, sans gaspillage, c’est sans doute ce que j’essaie de faire. Et ce que je propose de consommer le plus dans notre monde aujourd’hui, c’est l’amour que nous avons pour tous ceux que nous croisons… 

Les plumes... chez Asphodèle

Pour ECHAPPER  belle, gardien, lapin, destin, envolée, fermer, souffle, partage, quitter, s’abstraire, voyage, cavale, réchapper, chose, respirer, poète, nid, rêve, vie, doux, fugue, oiseau, imaginer, balles, poudrebercé.
Enfin seule !
Il est difficile de comprendre combien être seule peut faire du bien à certains moments de notre vie ! C’est exactement ce dont j’avais besoin à cet instant… ouf, décontracte toi, respire, souffle à fond, tousse, crache, hurle… personne ne t’entend… ouf, comme c’est bon d’être seule et de se ressourcer à sa propre source ! Et surtout ne culpabilise pas de disparaître ainsi, tu as juste besoin d’autre chose dans ta vie. Une petite parenthèse au milieu de ton destin, une envolée folle sans que personne ne t’accompagne. Alors ferme les yeux, profite de t’abstraire ainsi à ce mouvement, part en voyage quelques temps. Rien ne vaut cette petite fugue que tu t’octroies le temps d’un soupir pour réchapper au pire.  Rentre dans ce doux rêve, imagine que tu quittes un tout petit peu ton nid pour, comme l’oiseau, chercher au fin fond de la nuit, cette belle lumière dont parlent les poètes. Ca y est, tu as compris, tu as quitté enfin ta carapace d’humain, ta cavale commence, surtout ne pense à rien… C’est une échappée belle que tu prends ce matin, la balle est dans ton camp, surtout ne change rien. Et dans cet interlude que tu partages avec toi-même, n’hésite surtout pas à charger ton esprit de tout le positif, pousse très loin de toi les pensées parasites qui ont bercé ta vie et t’ont dépossédé de ton libre-arbitre. Tu reviendras bien assez tôt, retrouver les gardiens des questions qui plombent ta vie. Souris toi, chante aussi, prends ton temps, pose des lapins à tes soucis, et surtout ne reviens que poudrée de cet or fin que laissent ces moments câlins.


275 mots

jeudi 19 novembre 2015

19 novembre 2015, Aujourd’hui une lumière

Une lumière s’allume ce soir : j’ai réussi à faire quelques exercices de gym-yoga avec mon mari. J’inspire je monte les jambes, j’expire, je baisse les jambes… quelques fou-rires et quelques suées plus tard, il était content de son coach… ouf ! Nous restons si souvent assis devant un ordinateur que notre corps souffre de ne pas le détendre de temps en temps. Donc, c’est convenu : demain même heure, même punition, et je ne veux pas entendre de motif contre ce pur moment de bonheur qu’est « s’occuper de soi ! » 

mercredi 18 novembre 2015

18 novembre 2015, Aujourd’hui c’est parfois si simple de

C’est parfois si simple de rentrer dans sa bulle et de refuser une minute de plus de faire partie de ce tourbillon. Après tous ces drames, juste envie de s’enfoncer dans sa solitude, le temps de digérer, de reprendre des forces, de faire le vide dans son esprit, de peindre des couleurs vives, de ne plus penser négatif, de voir de l’enthousiasme dans l’avenir, de chercher et de faire grandir la plus petite once de joie qui sommeille en nous depuis quelques jours et de se retrouver en face de soi-même pour un moment de douceur et de silence. C’était simple aujourd’hui et j’ai eu la chance de pouvoir vivre ce moment là… 

lundi 16 novembre 2015

16 novembre 2015, Aujourd’hui comme un fil d’Ariane

Mon fil d’Ariane du jour se concrétise par ces quelques heures que j’ai passé aujourd’hui à reprendre mes cours de sophrologie, à écouter les enregistrements des pratiques, à les taper sur l’ordi, me trouvant plus visuelle qu’auditive. Mon fil d’Ariane du jour me permet d’essayer de tenir mes objectifs et me sert de ligne directive pour ne jamais douter que je vais y arriver. 

dimanche 15 novembre 2015

15 novembre 2015, Aujourd’hui dans le reste principal il y a.

Dans le reste principal, il y a toute cette fraternité qui nous unit. Il y a tout cet amour qui se développe entre nous afin de nous permettre de faire front à cette violence. Il y a tout ces moments de partages, de chaleur, de solidarité qui ne doivent pas s’évanouir, mais grandir comme un grand feu, comme une clameur et immortaliser notre désir de vivre ensemble quelques soient nos différences.  Aujourd’hui, dans le reste principal, il y a toi, moi et nos enfants, petits enfants qui sont notre avenir et à qui le principal est de leur offrir le meilleur monde possible. 

jeudi 12 novembre 2015

12 novembre 2015, Aujourd’hui derrière une porte

Derrière la porte, la main levée, prête à frapper quelques coups timides afin d’entrer, j’attends. Timidité ou retenue, j’ai souvent dans ma jeunesse, attendu ainsi, particulièrement devant une porte de salle de classe lorsque j’avais quelques minutes de retard. Et puis, je ne sais pas comment, ni pourquoi, mon esprit, brouillé jusque là, se mettait à me parler sur un ton qui ne méritait pas que je baisse le bras et je me traitais de poule mouillée si je n’étais pas capable de taper quelques coups et d’entrer sans crainte dans cette pièce. Alors, décidée, sans forcément me rendre compte que je contrôlais mon geste, je frappais, entrais et m’asseyais à ma place avec au bout des lèvres un : pardon pour mon retard… Heureusement depuis que les années passent, ce genre de problème n’arrive plus que rarement et je crois que j’ai fini par vaincre cette timidité maladive par l’orgueil que j’avais jeune fille ! 

mercredi 11 novembre 2015

11 novembre 2015, Aujourd’hui pierre à pierre

Promenade dans les sentiers pierreux du village d’à côté, une belle balade sous le soleil d’un gentil mois de novembre. A croire qu’il veut se faire aimer ce mois, celui que je redoute le plus et que j’ai parfois tant de mal à vivre. Surtout qu’il m’a emporté mon petit papa l’année dernière et que je ne peux que lui en vouloir un peu plus. Pierre à pierre, je ressors de ce deuil grandie, et je m’étonne de sentir si souvent sur mes épaules, ses mains… Je crois, papa, que depuis que tu es de l’autre côté de la rive, je te sens si proche de moi que je t’entends encore me dire « je t’aime » dans tous les silences doux que tu souffles sur moi… 

10 novembre 2015, Aujourd’hui une personne insignifiante. Vraiment ?

Beaucoup de mal à trouver les gens insignifiants, ou alors ceux qui passent hors de moi, hors du temps, des acteurs ou des comédiens que je n’apprécie pas vraiment. De là à trouver quelqu’un d’insignifiant, non vraiment, je ne vois pas. Et puis, aujourd’hui, nous étions en voiture à peu près toute la journée et les gens que nous avons croisés dans leur automobile avaient sans doute un intérêt certain, mais difficile de s’attacher à leur trouver le signe distinctif à travers la vitre souvent teintée, de leur bolide. D'ailleurs, ces vitres teintées ? Savez vous qu’il va falloir les faire éclaircir ? Ça c’est une belle et jolie loi qui signifie… n’importe quoi !

09 novembre 2015, Aujourd’hui hommes et femmes

Aujourd’hui, nous étions un homme et une femme seuls au monde pour une journée volée au temps, pour un moment entre parenthèse entre un dimanche et un mardi de rendez vous professionnel. Un homme et une femme se promenant à Boulogne sur Mer et passant trois heures de rêve à NAUTICAA, au milieu d’une faune à nageoire survolant les coraux dans des aquariums délirant de couleur avec le calme et la lenteur d’une belle journée de douceur cachée entre vingt-quatre heures… 

08 novembre 2015, Aujourd’hui ça a l’air vieux

Ça à l’air vieux, mais pourtant cela ne fait pas si longtemps que nous étions sur cette même route, entre chez nous et Paris pour quelques jours d’escapade à deux. Un rendez vous professionnel nous emporte dans le Nord de la France par un superbe temps d’automne ensoleillé où la végétation rivalise entre elle pour paraitre dorée et colorée. Et nous, même avec l’air vieux du haut de notre âge de grands-parents, nos sourires complices, nos regards coquins et notre bonheur de faire ce voyage, nous ramènent à notre jeunesse et aux escapades en amoureux qui ont jalonnés notre vie… 

vendredi 6 novembre 2015

06 novembre 2015, une fleur

Merci mille fois pour ce joli bouquet qui orne déjà la maison entière... c'est le pratique de cette époque moderne ou un seul bouquet peut embaumer toute une maisonnée sans même se faire remarquer. J'apprécie sa couleur chatoyante, son odeur épicée, la longueur de ses tiges, l'harmonie de ses nuances.
L'équilibre de sa forme, le décalé dans les tonalités, sa facilité à s'accorder à toutes les teintes de la maison, son allure majestueux quand je le regarde d'un certain côté. L'essence même qu'il dégage lorsque je m'approche de lui, tel un drapeau fier de ses couleurs, il s'érige en maître de l'endroit où tendrement je le dépose. La rondeur de certaines fleurs qui doucement s'épanouissent, et même le vase en accord parfait avec l'ensemble me laisse un gout de plénitude.
 Que de bonheur à le regarder, le humer, le flairer, discerner tout ce qu'il veut me dire, pénétrer dans les non-dits, chavirer par son sourire, fleurer bon son parfum, laisser s'exhaler ses effluves et aimer à penser qu'il dépose tes phéromones jusque dans la plus petite particule de tout ce qui m'entoure, le sentir jusqu'au profond de mon cœur et de mon âme. Hum, je ne m'en lasserai jamais, et le plus extraordinaire est son immortalité ! Merci mille fois de ce bonheur  et de ce bouquet virtuel que tu m'as envoyé !

jeudi 5 novembre 2015

05 novembre 2015, dans l’actualité

Si vous ne l’avez pas vu, entendu au journal de 20 h, c’est que vous étiez ailleurs que devant votre poste… La Une du jour, l’actualité de la journée : c’est qu’une petite Céleste est tombée de son étoile et a atterri dans les bras d’un super papa et d’une adorable maman. Elle continue la lignée de nos petites filles en se plaçant cinquième et nous ravit déjà le cœur.
Bienvenue à toi, jolie poupée, et merci à la vie de ce nouveau miracle… 

mercredi 4 novembre 2015

02 novembre 2015, pourquoi c’est compliqué

Comme une araignée qui tisse sa toile, l’esprit entremêle les fils de toutes les données qu’il reçoit, les mélange, les malaxe, les remue tant et tant, qu’il forme rapidement une toile sophistiquée de toutes ses pensées… Et là, ça devient compliqué ! là ça devient difficile de se faire une véritable idée de nos pensées, de prendre la mesure de chacune, de prendre le recul nécessaire à un éventuel démêlage… Alors, classons nos pensées, rangeons les dans la bonne case, ne mélangeons pas toutes nos idées reçues, nos connaissances d’un sujet avec celles d’un autre. Soyons objectifs dans nos raisonnements et commençons par ne pas juger nos propres pensées… 

dimanche 1 novembre 2015

01 novembre 2015, Aujourd’hui la terre

Après midi jardin, un soleil digne d’un été indien, une table mise dehors comme un dernier adieu au beau temps, un après midi à trifouiller la terre, à désherber, nettoyer, arranger, couper les bois morts et puis se poser pour prendre un café en face de nos grands arbres. Compter les écureuils qui courent d’un point à l’autre et profitent de ce beau temps pour compléter leur récolte. C’était un dimanche douceur comme il fait bon d’en avoir pour débuter novembre. Ce mois que je n’aime pas vient de gagner un point. Pourvu qu’il fasse encore beau demain ! 

31 octobre 2015, Aujourd’hui métallique

Bien que cela ait l’air solide, le métal se raye un peu trop facilement à mon gout… pour preuve la jolie rayure sur la porte arrière droite de ma voiture, faite aujourd’hui, alors que ma fille essayait de se dégager du mur qui avait dû se rapprocher de l’auto pendant la nuit. Un mur qui se permet de faire un copier-coller de ses graffitis sur cette partie bien métallique de ma portière.  Et voilà, comment l’art se passe, se déplace, se dépasse… et arrive jusqu’aux yeux mouillés de ma fille, bien désolée de cette carrosserie abimée. Mais ce n’est que de la tôle rayée, y’a vraiment pas de quoi faire pleurer ma jolie fille adorée. 

samedi 31 octobre 2015

30 octobre 2015, Aujourd’hui le roi

A la naissance de mon deuxième enfant, un garçon, j’avais déjà une fille… et donc, j’avais le choix du roi comme on dit… Aujourd’hui, un petit bout va nous montrer son petit nez d’ici quelques jours… Aurons-nous le choix du roi ? Après quatre petites princesses, aurons-nous droit au petit prince pour déranger cet ordre là ? Le mystère reste présent encore pour quelques jours, Je ne lance pas de paris, une fille sera aussi la bienvenue ! En attendant, que tout se passe bien, c’est tout ce que je demande au roi de la vie et du destin ! 

vendredi 30 octobre 2015

28 octobre 2015, Aujourd’hui rondeurs

Ma gentille Clo m’a offert des macarons, des macarons tout ronds, tout colorés qui appellent la convoitise, me font de l’œil du fond de leur emballage, me chatouillent les papilles et se jettent naturellement sur ma langue sans même que je prenne la décision de les croquer. Quelques rondeurs en perspectives, quelques kilos à éliminer, quelques séances de yoga à faire, quelques culpabilités à gérer pour un délice de rondeurs colorées offert par mon amie adorée. 

jeudi 29 octobre 2015

23 octobre 2015, Aujourd’hui à la poubelle

Comme il est difficile de jeter ce qui fait partie d’une famille, d’une maison, de nos parents… aujourd’hui la poubelle était de service, bien remplie, avec plusieurs remorques pleines et vidées à la déchetterie. Et ce n’est pas fini ! On remue la poussière, on bouscule quelques meubles, on ouvre des tiroirs qui font pousser quelques cris, on cherche sous les lits, on vide des placards, on tri, on hésite, et si ça pouvait servir ? Tout un monde qui s’enfuit, se disperse, s’éparpille entre cinq enfants qui ne savent pas toujours que faire de tout ce fatras… Nos parents de leur étoile doivent bien s’amuser à nous voir discuter sur que faire de tout ça. Est-ce à dire qu’il faudrait prévenir plutôt que guérir, et qu’il serait bon, dans notre propre maison de faire quelques fois le tri. Cela éviterait un travail de titan, un casse-tête chinois, une fatigue démesurée et quelques frustrations familiales qui n’en vaillent pas vraiment la peine à nos enfants lors de notre grand départ.

jeudi 22 octobre 2015

22 octobre 2015, Aujourd’hui il me faudrait un mot pour désigner

Aujourd'hui, je viens de trouver un mot pour désigner :tout ce qui fait la vie, tout ce qui bouge en nous, tout ce qui nous fait vibrer, tanguer, chanter dans des moments improbables, rêver que tout repart, s’énergiser d’un espoir, se sentir présent, fortifier ses bases, se caler les deux pieds bien stables, prêt à bondir, prêt à attraper la rosée du matin, à sauter d’un pied sur l’autre pour quelqu’un, un mot qui réunirait à lui tout seul, ces sensations, ces sentiments, ces mieux en mieux et ferait qu’à sa seule prononciation, ce positif s’installerait ainsi en nous et nous reformaterait de la vie d’avant… ce mot, ce serait « la vivance » et  ce mot nous mènerait alors à conquérir les valeurs de l’existence. Alors à partir de maintenant, j’adopte ce mot et le colle à mon esprit pour qu’il s’y love et me permette de me sentir toujours plus vivante ! 

mercredi 21 octobre 2015

21 octobre 2015, Aujourd’hui attention particulière à ne pas faire

Ne pas faire attention au ménage, ne pas regarder tous les jouets qui trainent, ne pas chercher à écouter de la musique classique et se contenter des chansons du fameux jeu à piles qui nous en met plein les oreilles. Accepter de danser avec ces demoiselles, les regarder se courir après sans sursauter au moindre coin qui pointe près de leur tête, jouer au Barbie, au Playmobyl  même si le repas n’est pas complètement près. Aujourd’hui, la seule attention à faire est scotchée sur ces deux bouts de choux de 2 ans et 6 ans qui nous mènent par le bout du nez et nous permet de passer une soirée de rire et de comptines.

mardi 20 octobre 2015

20 octobre 2015, Aujourd’hui attention particulière à faire

Faire attention particulièrement à tout ce qui m’entoure, à tout ce qui se passe ces derniers temps. Changement de vie, changement de rythme, plus d’horaires cadrés, plus d’aller-venues. Il faut accepter ce chamboulement, trouver un autre équilibre, et faire une attention particulière à ces premiers moments afin d’y trouver du plaisir, des avantages et surtout aucun regret de la vie d’avant. Et pour concrétiser tout cela, je me régale à l’avance de recevoir demain mes deux adorables petites filles, qui vont me bousculer tout ça et remplir la maison de rire et de chahuts… En voilà deux à qui je vais faire particulièrement attention… 

lundi 19 octobre 2015

19 octobre 2015, Aujourd’hui besoin d’un objet essentiel

Oubli de mon téléphone dans la maison de mes parents, à 150 km de chez moi… mon gentil frère l’a mis à la poste et le voilà ce matin, bien rangé dans ma boite aux lettres attendant que je relève le courrier. Cet objet essentiel de nos jours ne m’a pas trop manqué tout ce we, mais vu tout ce qu’il stocke à lui tout seul, j’étais contente de le retrouver aujourd’hui. Comme quoi, il ne faudrait pas mettre tous nos œufs dans le même panier. Heureusement qu’en prenant le train, j’ai pu appeler mon mari, seul numéro que je connais, en demandant à une adorable jeune femme de me prêter son téléphone. Le mieux, serait donc d’avoir sur soi un carnet d’adresse et de numéros de téléphone, comme celui qui ne quittait pas mes sacs avant que je ne fasse confiance à cet objet essentiel. 

dimanche 18 octobre 2015

18 octobre 2015, Aujourd’hui l’ombre de

Pas d’ombre aujourd’hui dans le jardin, un soleil en berne et une pluie fine qui se fracasse tout doucement par terre. Pas d’ombre au tableau que je n’ai pas encore peins, et dont la toile blanche me nargue simplement. Pas d’ombre entre nous depuis tout ce matin, un match de rugby nous éloigne les mains, mais je passe un moment toute seule devant l’écran à taper plein de lettres pour en faire un jardin. Un jardin de soleil dont les arbres hautains forment des ombres au tableau que je m’en vais vous peindre…  

17 octobre 2015, Aujourd’hui de l’argent

Novembre nous gèle les membres
Et voit notre énergie se fendre
Sous l’hiver qui approche
Et son froid qui nous embroche…
Novembre mois triste, mois morne,
Novembre, moi triste, moi, moche
Je suis une fille du printemps
Je renie ce mois de novembre
Je le donne à qui veut le vendre
Et je rajoute de l’argent
A qui veut bien me le prendre…
Je préfère que l’on me rende
Mes fleurs et mon soleil d’ambre,
Plutôt que de rester tout le mois de novembre

Enfermée, emmitouflée, dans une chambre …

samedi 17 octobre 2015

16 octobre 2015, Aujourd’hui comme un gosse

Une maman qui s’envole tout doucement dans la nuit, un enfant qui la suit des yeux, la regarde partir, voudrait la retenir. Mais ses yeux à elle, sont fermés, déjà, il semble qu’elle passe les premières modalités sans risquer d’être renvoyée sur la terre qui la porte bien haut. Sans frontière pour la retenir, elle expire dans son vol pour un voyage sans retour dans les étoiles d’une nuit velours. Comme un gosse, le nez mouillé, il rentre les épaules, se recroqueville, prend ses genoux dans les mains et essuie ses larmes sur le tissus froissé d’une nuit sans sommeil. Dans le tourment de sa peine, il lève un peu les yeux au ciel et aperçoit cette lumière qui lui emmène sa mère. L’étoile d’une maman brillera plus fort au firmament, comme un gosse il veut croire, qu’elle reviendra le voir, certains soirs… 

15 octobre 2015, Aujourd’hui avance comme

Aujourd’hui, j’avance comme un zombie après toute cette gymnastique forcée de ces derniers quarante huit heures. Mais n’empêche que j’avance tout de même et ce qui est fait n’est plus à faire. Et ce soir, j’avance comme dans un train qui me ramène chez moi, j’avance les yeux fermés, l’esprit embrumé, bercée dans ce roulis tel un pion fatigué sur les rails de la vie. Un chemin de fer qui me relie à mon quotidien, me ramène à ma vie, me permet de somnoler un peu avant de le retrouver lui, l’homme à qui dès le premier regard, j’enverrais mon sourire et rentrerai chez nous, avec lui. J’avance, j’avance, j’avance comme si…. 

14 octobre 2015, Aujourd’hui sujet brûlant

Sujet brûlant que cette obligation de vider cette maison dans les trois mois prochains. Sujet brûlant que ce moment de solitude ressenti ce matin devant un travail titanesque et que je ne sais pas par où commencer. Sujet brûlant lorsque le sms de mon frère m’avertit à onze heures qu’il ne peut venir m’aider comme prévu. Sujet brûlant quand morte de fatigue après avoir descendu une tonne de livre pour les proposer à la vente, je me retrouve criant « maman, besoin d’aide là tout de suite » et attrapant mon téléphone, j'appelle un bouquiniste, qui me répond qu'il arrive dans la demie heure et m’achète une partie de mon stock. Sujet brûlant que je vais refroidir sans phrase assassine, avec juste l’envie d’être aidée par tous mes frères et sœur dans cette tâche qui demande tant d’effort. 

13 octobre 2015, Aujourd’hui couleur qui sent

Mille couleurs dans ma tête au milieu de ce groupe où les séances se succèdent sans discontinuité et où mon intérêt pour cette philosophie grandit petit à petit. Visualisation d’un soleil jaune qui sent bon l’été, d’un coucher orange dont l’odeur de la terre monte à mes narines, des grands arbres verts dont les feuilles bougent tout en haut du ciel, et dont les racines me racontent l’odeur de la mousse. Allongée par terre, je savoure le spectacle de mes papilles ouvertes et lorsque j’ouvre les yeux face à dix huit paires de regards, qui reviennent comme moi d’un moment en parenthèse, je me dis que j’ai la chance de me sentir couleur miel dans cette vie qui est si belle.

12 octobre 2015, Aujourd’hui pas bien rangé

Pas bien rangé ? Plusieurs fois, lors de cette formation, je me suis demandée ce qui n’était pas bien rangé dans ma tête, pour avoir pris l’idée de me lancer dans cette aventure et me retrouver au milieu de 18 stagiaires à écouter une formatrice nous annonçant le lourd programme qui va ponctuer nos prochains mois. J’aurai pu me la « couler douce », après l’arrêt de mon contrat, me poser chez moi pour de bon, me contenter de peindre, de m’occuper de mes petits enfants, de ma maison et de mon petit mari. Et bien il faut croire que j’ai des choses à ranger pour accepter ce challenge et plonger dans la sophrologie  afin de donner encore plus de mouvement à ma vie pour juste me sentir « plus vivante » !

11 octobre 2015, Aujourd’hui cherche toujours

Cherche à faire plaisir, cherche à aimer ton prochain, cherche toujours à bien t’entendre avec tout le monde, cherche encore ce que tu peux faire de mieux, de bien… mais n’oublie pas de te trouver, toi ! de te cocooner de temps en temps, de te serrer dans tes bras, de te pardonner tes manques, de te donner du temps, de t’aimer vraiment ! 

samedi 10 octobre 2015

10 octobre 2015, Aujourd’hui comme tous les jours

Une chose est sure, je ne ferai pas ça tous les jours : grillée d’une petite grasse matinée du samedi, nous voilà déjà sur la route à 8 h 30. Et à peine un café sur place, la journée s’enflamme de valses de cartons, de meubles plus ou moins gros, plus ou moins lourds, de tiroirs à vider, de verres à emballer, d’assiettes à ne pas casser, de bibelots à ramasser pour  toute une maison à déménager ! Notre amie change de nid, change de village et nos gros bras sont venus l’aider à muer de cette vie là pour s’en construire une autre mieux adaptée à ce qu’elle souhaite vivre. Et voilà, une page se tourne, une autre se défroisse et j’espère que cette page blanche se remplira rapidement de beaux graffitis dorés pour notre amie adorée ! 

vendredi 9 octobre 2015

09 octobre 2015, Aujourd’hui ça amasse

Des croissants pour mes collègues vu que c’est le dernier jour de mon contrat dans cette école, après je décolle pour ailleurs… A partir de lundi prochain : une formation de sophrologie à débuter, une maison de famille à vider, quelques photos à traiter, un mari qui va savoir m’occuper, quelques tableaux à réaliser, des murs à revitaliser, des copines à visiter, du sport à continuer, des discutions à papoter, des petites filles à câliner, des enfants à inviter, des voyages à préparer,  une maison à organiser, des chambres d’hôtes à publiciter, de l’administration à avancer, des personnes à aider,  des balades à programmer, des bons moments à s’éclater, des partages de plein d’amitié, du thé à faire infuser, une association à faire avancer, des pensées à envoyer, des festins à préparer, des cadeaux à acheter, de l’énergie à distribuer, des sourires à s’envoler, des stages de pastel à intégrer, un mémoire de formation à travailler, du vélo à pédaler, un nouveau-né à cocooner,  des photos à classer, plus tout ce que j'ai pu oublier,  et surtout de l’amour à donner, soit toute une vie de souvenirs à amasser dans les années qui vont suivre ce contrat terminé ! 

jeudi 8 octobre 2015

08 octobre 2015, Aujourd’hui ça ramasse

Quand le vent se lève, ça fait tomber
Les feuilles du jardin
Et l’automne, pas bien loin,
Tapisse très vite la cour
De mordoré velours.

Puis ça se ramasse un dimanche
Avec un râteau et son manche
Plein de petits tas d’humus
Se rangent comme des détritus
Dans la belle brouette
Qui les videra à perpette…

C’est la valse de l’automne
Qui à notre porte sonne
La fin des repas terrasse
Et son vent, vite nous ramasse,
Nous pousse dans un autre espace
Abrités, protégés
De ce terrible hiver
Qui ne va pas tarder

A pointer son bout du nez ! 

mercredi 7 octobre 2015

06 et 07 octobre 2015, Aujourd’hui ça passe ou ça casse

Çà casse pas mal la tête, ces 100 mots quotidiens… Dès le matin, les neurones se démènent pour trouver un quelconque lien avec le mot proposé et la journée qui se déroule… Ça casse la routine de scruter, dans les heures qui passent, le détail qui permettra d’écrire ces réels sans trop se fracasser la tête ! Aujourd’hui : atelier d’écriture en CM2… des élèves qui ne se cassent pas trop la cervelle pour en sortir des alexandrins sans beaucoup de richesse. Même les gros mots sont parfois à l’assaut d’un semblant de poésie qui a bien du mal à dépasser la marge d’un cahier de brouillon qui porte bien son nom…. Les futurs écrivains se cachent dans les herbes d’un avenir lointain ! 

lundi 5 octobre 2015

05 octobre 2015, Aujourd’hui en noir et blanc

Un superbe album photo suite à la prise de vue que mon mari a fait d’un adorable bébé et ses parents… Je viens de le monter et presque toutes les photos choisies par les parents sont en noir et blanc… Un rendu merveilleux pour un album souvenir qui suivra ce bébé toute sa vie. Femme de photographe, je ne manque jamais de me régaler des photos de ces petits bouts qui ouvrent leurs grands yeux aux lumières des flashs et au fier bonheur des parents devant leur petite star du jour ! 

dimanche 4 octobre 2015

04 octobre 2015, Aujourd’hui, une seule question

La question du jour était ce matin : « est-ce qu’on va pouvoir faire du vélo ? », le nez tout juste sorti des draps et l’hésitation entre se lever pour faire du vélo ou traîner un peu plus longtemps au lit. La météo a tranché, un beau soleil s’est levé et nous avons suivi son exemple avec l’énergie débordante des sportifs du dimanche. Un  petit déjeuner plus tard, nous voici escaladant nos escadrons et toutes pédales dehors, adhérant à la route, lancer la petite reine sur les chemins de traverse autour de chez nous… 30 km plus tard, le sourire aux lèvres et les jambes bien déliées, nous retrouvons nos pénates pour continuer une journée bien commencée !

samedi 3 octobre 2015

03 octobre 2015, Aujourd’hui comme un avis à la population

Bon, moi, je ne suis pas trop pour les avis à la population, surtout quand c’est pour recevoir de mauvaises nouvelles. Dans ma campagne, les seuls avis de ce genre, je pourrais les envoyer à mes 4 chipies quand elles courent dans le jardin, histoire de les avertir des lieux dangereux dont il faudra bien qu’un jour on s’occupe… comme cette mare qui ne sert à rien depuis que les hérons ont mangé tous nos poissons… Alors, les parents comme les grands parents, on crie à nos poupées qui bougent :

ATTENTION LES FILLES, NE VOUS APPROCHEZ PAS DE LA MARE, C’EST DANGEREUX ! et il y en a toujours une pour nous répondre : OUI, on sait ! 

vendredi 2 octobre 2015

2 octobre 2015, Aujourd’hui un visage

Dans un mois et demie, notre cinquième petit enfant va montrer son bout du nez et ce petit visage, je l’imagine déjà, tout lisse, tout rose, avec le sourire des anges accrochés aux lèvres, des petits yeux rieurs comme ceux de papa, une petite frimousse comme celles de ses sœurs qui rivaliseront d’amour pour lui. Fille ou garçon, prénom mystère, une boule d’amour, au fond de mon cœur, grandit déjà pour ce petit visage là ! 

jeudi 1 octobre 2015

01 octobre 2015, Aujourd’hui perte de

Est-ce parce que l’on perd du temps trop souvent, qu’ensuite on court après longuement… et pourtant, quelques fois la sensation de s’arrêter au bord et de regarder courir les gens nous donne l’image de nous même, lorsque dans l’action, nous aussi courrons. Mais ce n’est pas une perte si l’on prend conscience de se poser de temps en temps, de souffler, de lever le nez en l’air et d’accepter d’aller moins vite que d’autres jours. C’est ce que j’ai vécu ce dernier mois de septembre, et je ne le compte pas comme perdu mais comme passé plus lentement dans ma vie, avec une forme en berne, une tête trop lourde et un cheminement au ralenti pour mieux repartir ! Et comme disait la pub « Un coup de barre, mars et ça repart ! »

mercredi 30 septembre 2015

30 septembre 2015, Aujourd’hui un amical



Aujourd’hui, une amicale idée a traversé mon esprit et depuis quelques heures, je la peaufine, je la caresse du cœur, je la vois apparaître sous mes doigts, je la devine même les yeux fermés, je ne rêve plus que de la faire vivre, je fais des plans pour en trouver le temps, je l’imagine réalisée, je la regarde exposée, voilà une idée qui a de la suite dans les idées et qui envahit ma tête jusqu’à me faire devenir « poète… ». Cette amicale idée ne va plus me quitter et quand je pourrais l’exposer, chers amis, vous viendrez l’admirer ! Et je vous lancerai mon plus amical sourire...

lundi 21 septembre 2015

21 septembre 2015, Aujourd’hui pas envie de

Aujourd’hui, pas envie de me laisser envahir par ces maux de tête qui ne me laissent pas de répit depuis plus d’un mois… Jusqu’à mettre Prudence au chômage pour cause de panne de cent mots… Rendez-moi ces mots là, reprenez tous mes maux. Je veux tant retrouver ma zénitude, mon bien être et ma forme ! Alors, je décide de devancer la reprise, de forcer le retour de Prudence, de récupérer tous mes mots et de jeter au feu, ces maux qui me pourrissent la vie depuis trop longtemps. Je raccroche mon sourire, je me lance de l’énergie et je reprends goût à l’écris !

vendredi 28 août 2015

27 août 2015, Aujourd’hui ce petit coin de nature

Trouvé ! J’ai trouvé mon arbre dernièrement, un arbre du jardin. Une amie sophrologue me demandant si j’avais été appelée par un beau feuillu qui entoure la maison, je me suis retrouvée les yeux mi-clos en balade dans mon jardin à l’écoute de cet appel. Je m’assois alors sur les racines d’un viel acacia et laisse vagabonder mon esprit me disant que l’arbre qui m’accueillais était celui qui m’appelait. Tout en ouvrant mes yeux doucement, je tombe en arrêt sur un mastodonte de la forêt, un tronc dont mes bras ne peuvent faire le tour avec quelques stigmates qui me regardent comme deux yeux, un nez une bouche. Une bouche qui me parle, m’interpelle, m’attire avec ce vieux sourire qui s’étire devant moi. Changeant de place, j’enlace celui qui m’a élue, le caresse tendrement, et me laisse happer par sa force et sa douceur… J’ai trouvé mon petit coin de nature rien que pour moi et depuis je vais voir mon arbre régulièrement et je vois mon jardin d’un autre regard. Je sais où me ressourcer : auprès de mon arbre qu’il fait bon, fait bon ! 

26 août 2015, Aujourd’hui demi-vérité

Demi-vérité ou demi-mensonge … où se situe le milieu ? Le moment où l’on commence à devenir vraiment sincère, où l’on se lâche des confidences qui nous emportent parfois plus loin que la limite que l’on s’était donnée. Avec toi, amie venue passer quelques heures au bord de l’eau, nous avons banni les demi-vérités et laisser planer aucun doute sur notre sincérité. Sincérité des sentiments de cette amitié qui nous lie suite au coup de foudre de notre rencontre il y a déjà cinq ans. 

25 août 2015, Aujourd’hui essayé de.

Essayer de reprendre la forme… essayer de peindre aussi, résultat un tableau d’un bateau tout seul sur une mer plutôt calme à l’image de ce que je veux être ! Essayer c’est l’adopter comme dis la pub ! Est-ce à dire qu’il vaut mieux avoir des regrets que des remords ? Essayer pour tenter l’impossible et voir le possible se mettre tout doucement en place ! Comme l’adage de ma phrase fétiche : « tu n’arriveras pas là où tu veux aller… si tu voyages toujours par beau temps ! » Alors j’essaie, j’essaie et je suis la première surprise parfois d’y arriver malgré les embûches, malgré les empêcheurs de tourner en rond qui parfois savent si bien décourager les ambitions.  

lundi 24 août 2015

24 août 2015, Aujourd’hui un trou

Un trou dans ma tête tant ça tape là dedans… plusieurs jours qu’un mal de crâne martèle doucement mon front et surtout le fond de mes yeux… c’est grave docteur ? Ce n’est pourtant pas le moment de me sentir déjà fatiguée alors que la rentrée arrive à grands pas… un petit doliprane pour reboucher ce trou et ça va aller mieux. Quelques exercices à faire dans le calme et je vais surpasser cette douleur et refermer en plus des yeux, ce trou qui m’épuise un peu. Va falloir que je me fasse à ces nouvelles lunettes mais pour l’instant je reprends les anciennes et c’est peut-être tout ce changement de focale qui fatigue mes prunelles et forme ce trou noir dans ma tête ! 

23 août 2015, Aujourd’hui chaussures

Vidage des sacs, rangement des valises, trie des chaussures … Ah les chaussures, parfois je me demande pourquoi les femmes en sont autant accro… Je n’échappe pas à la règle et j’en ai autant qu’un mille-pattes pourrait en porter. Mais pourquoi cet engouement pour deux morceaux de cuir ? Pourquoi cette recherche inlassable de la meilleure paire de chaussures ? Celle qui conjugue esthétisme, praticité, et surtout, surtout qui ne fait pas mal aux pieds au bout de 500 mètres de piétinement lors du shopping dans les magasins de … chaussures… 

22 août 2015, Aujourd’hui j’évite

Retour de vacances, j’évite de me parasiter l’esprit avec des ondes négatives, j’évite de penser à la rentrée, ce mois et demie ou je vais être encore AVS juste avant que ne se termine mon contrat… j’évite de me mettre la pression sur ma dernière décision, celle de me lancer dans des études de sophrologie, j’évite d’oublier trop vite la détente de ces dernières semaines, les bons moments resteront forcément dans ma mémoire ! J’évite d’accumuler pour rien afin de mettre ma résolution d’hier en pratique et pour cela, je vais refuser d’aller faire un tour demain à cette brocante des 4 sous qui déstocke et promet des prix extraordinaires lors de la vente aux enchères des trois prochains we !  

21 août 2015, Aujourd’hui on conserve

Je viens de lire un article sur « le zéro déchet »… Est-ce possible de vivre dans l’anti-gaspi constamment ? Il semble que certains y arrivent. Résolution à la rentrée de vider mes placards, de trier mes vêtements et d’arrêter d’acheter des choses inutiles juste pour le besoin de posséder. Est-ce une utopie ? On conserve tant d’objets qui ne servent pas ou plus et qui encombrent notre espace. Promis, à la rentrée, je m’y plonge et j’essaie de dépoussiérer tout ça afin d’alléger mes acquis et de faire un bon geste pour l’environnement. 

20 août 2015, Aujourd’hui au téléphone

Ah, cette invention à transformer les communications, à changer les relations avec notre entourage… Impossible de m’en passer actuellement, et pourtant, j’ai bien fait sans quelques années… Ce petit boitier qui me relie à mes amours et me permet de les avoir presque à portée de main… Et hop, un petit sms pour dire que tout va bien, et hop, un autre pour demander une recette, un autre pour savoir si ils sont bien arrivés, encore un pour donner des nouvelles de l’ami déprimé, pour envoyer de l’énergie à gogo, des camions de « gros bisous », pour ne pas couper le fil qui tisse sa toile entre nous. Un coup de téléphone pour faire grandir l’amitié et se donner rendez vous quand il est urgent de se voir… Un petit appareil qui peut aussi servir à se dire qu’on s’aime, ce n’est pas magique ça ?

19 août 2015, Aujourd’hui en gros

Livrer tous les jours de « gros bisous » à tout son répertoire d’amis et d’amour… c’est ce que permet de faire les « sms », ces petits messages qui remplacent à leur façon les cartes postales… qui me permet de délivrer des mots doux à mes amis, sans les déranger par un appel, ces paroles écrites que l’on peut relire à loisir. Il est vrai que j’aime en abuser, j’aime envoyer ainsi mes pensées positives, mon énergie pour celui ou celle qui en manque et terminer mes phrases par la remise de « gros bisous », parce qu’un tout petit bisou ce n’est jamais suffisant pour tous ceux que j’aime… Alors, j’espère qu’en gros, ça fait plaisir à tout le monde ! 

18 août 2015, Aujourd’hui 5 mots essentiels

Amour : Sans amour, on ne grandit pas, c’est l’essence même de toute une vie. L’amour que l’on reçoit, l’amour que l’on donne.
 Vivre : respirer, jouir de la vie, remercier tous les jours la vie de nous donner cet énergie, cet élan pour aller de l’avant.
 Ecouter les autres, s’écouter soi même afin de se connaitre mieux et d’aller encore plus vers autrui…
 Enfants : prolongation de nous même, donner la vie et à nos enfants, des racines et des ailes…

 Créer : modeler, peindre, construire, façonner, une façon de remercier encore la vie

jeudi 20 août 2015

17 août 2015, Aujourd’hui ordinateur

C’est comme un doudou que je trimballe partout, qui me suit pendant les vacances, qui permet de noter tout ce qui me passe par la tête et de rester connecter avec le monde extérieur… Je refuse d’en faire une drogue et j’ai appris petit à petit à m’en passer, en reprenant mon crayon et mon cahier à chaque fois qu’il est difficile de l’ouvrir, de l’allumer. Et puis il en fait si souvent à sa tête, niveau connexion, que je le remplace aisément par un téléphone tout aussi dévoué à ma cause ! Un ordinateur qui n’ordonne aucun ordre, mais me laisse coucher sur son écran les délires qui me prennent si souvent. 

mercredi 19 août 2015

16 août 2015, Aujourd’hui comme si vous l’aviez vécu avec quelqu’un d’autre, mais qui ?

Après une soirée douceur dans un gîte au milieu de la région des marais Poitevin où l’on rencontre des gens sympas, où on se  retrouve rien que nous deux pour une journée dans les marais avec un bon moment d’embarcation au milieu d’un paysage d’enchantement où le vert des feuillages et l’eau des étangs sur lequel nous glissons d’un rythme lent mais assuré nous permet de profiter au maximum de ce qui régale nos yeux !  Alors une chose est certaine : aujourd’hui j’ai vécu cette journée avec l’homme de ma vie et je n’aurais pas aimé la vivre avec quiconque d’autre…

15 août 2015, Aujourd’hui on pourrait presque toucher

La journée des Peintres à Loix clos ce séjour merveilleux sur cette île, nous nous régalons les yeux avec des artistes de qualité et l’envie énorme de me remettre à la création devient de plus en plus forte au fur et à mesure que nous avançons devant tous ces exposants. J’en profite pour emmagasiner toutes ces couleurs, tous ces contacts, pourquoi ne pas prévoir un petit stage l’été prochain ? Et nous reprenons la route riche de tous ces souvenirs qui donneront sans aucun doute leurs fruits à la rentrée, ne serait-ce que la prolongation de ce sentiment de plénitude suite à tous ces bons moments passés sur place… A croire qu’on pourrait presque toucher le bonheur, mais pourquoi presque ? Le bonheur quand il est là, il est bon de le reconnaître et de dire «  Merci » pour le retenir ! 

14 août 2015, Aujourd’hui le fruit de

Journée de pluie… mais impossible de se plaindre, on va en profiter pour faire du ménage afin de rendre la maison demain le plus propre possible. Un grand moment de tri des photos du séjour dont le fruit sera d’ici quelques temps un super album relatant ces deux bonnes semaines !  Départ de mon frère et de sa petite famille qui préfère prendre la route avant le grand rush, nous nous retrouvons en tête à tête pour une petite visite de la Flotte en Ré où heureusement il s’est arrêté de flotter ! 

13 août 2015, Aujourd’hui la dernière fois que

Parfois une première fois est aussi une dernière fois… avant la suivante ! Alors cela peut se dire pour des tas de moments, d’événements, de fois tout simplement ! Par exemple, ce soir c’est la première et dernière fois que j’ai mangé dans le restaurant : les frères de la côte qui n’est pas moins un des lieux du tournage du film « Alceste à bicyclette ». Un Lucchini grandiose assorti d’un Lambert Wilson tout aussi bon ! La dernière fois que j’ai vu ce film, j’ai adoré, alors il faudra une autre fois pour le déguster encore et retrouver à travers ces images une île synonyme de « vacances »  où j’adore revenir encore et encore sans qu’il n’y ait jamais de vraie « dernière fois ».

12 août 2015, Aujourd’hui quelque chose qui clignote

Un bouton rouge dans le noir de la nuit, à peine éveillée par cette lumière qui clignote, je referme les yeux sur la douceur du message que vient de m’envoyer la technique informatique qui soutient efficacement ma mémoire : il y a 33 ans, ce qui clignotait, c’étaient les contractions qui étreignaient mon ventre quelques heures avant la naissance de mon premier enfant, c’étaient les yeux brillants de mon petit mari suite à une nuit blanche, c’étaient le bonheur bondissant d’être pour la première fois parents, c’étaient le regard bleu marine de ce petit être qui ouvrait et fermait les yeux dans un sourire d’ange heureux de se rendre compte que le choix d’atterrir dans nos bras était le bon ! Ce qui clignote aujourd’hui, c’est mon cœur de maman qui bat si fort depuis pour cette petite boule de chair qui est devenue cette jeune femme belle et magique, déjà maman elle-même de deux poupées jolies…

Bon anniversaire ma fille ! 

11 août 2015, Aujourd’hui liberté chérie

Quand on se retrouve en vacances, sous un soleil de plomb, avec pour seul problème le programme de la journée, ne peut-on pas dire qu’on a au bout des doigts, une sacrée liberté chérie ? Qu’on est les plus veinards de la terre, que la chance nous sourit, que le bonheur est sur terre, et que cette liberté on n’a bien du bol de pouvoir la chérir ainsi ! Alors impossible de ne pas penser à tous ceux qui se sont battus pour elle ou se battent encore, à tous qui se retrouvent avec le choix limité à un seul décor qu’ils ne peuvent dépasser sans mettre en péril l’équilibre de leur vie… Liberté chérie quand tu nous tiens ne nous lâche plus ! 

10 août 2015, Aujourd’hui la chose à ne pas dire

Visite d’un clocher un peu particulier ce matin, haut et fin comme une flèche, il s’étire dans le ciel pour être vu jusqu’à la mer… D'ailleurs, il aime ce qui est amer, puisqu’il sert d’amer pour les bateaux en vogue sur la grande bleue. Un clocher noir et blanc avec trois cloches dont la plus grosse, la plus lourde de près de 1000 kg se prénomme Françoise, et oui, désolée pour toutes les Françoise… Mais la chose à ne pas dire est : «  toutes les cloches s’appellent Françoise, comme tous les ânes s’appellent Martin », puisque les deux autres, bien plus petites s’appellent Louise et Marie Victoire. Et ce clocher ? Avez-vous devinez quel village il domine ?

09 août 2015, Aujourd’hui bouches

Depuis que le soleil a pris mon nez pour un coquelicot et le fait rougir chaque jour un peu plus, il s’attaque aussi à ma bouche qui se décompose en gerçures striées tant la sécheresse colle à ma peau ! Du coup, je refuse toute réanimation par le bouche à bouche ! Heureusement, j’ai eu deux jours de temps gris qui a permis à ma peau de se reposer… ouf ! Mais bon, tant que ces problèmes sont les seuls que je rencontre, la fin des vacances devrait bien se passer ! 

08 août 2015, Aujourd’hui des papiers

Salon du livre sur l’île ! Une salve de papier traverse la pièce, enfin surtout ma tête que je ne sais où donner ! De tous côtés des auteurs impatients que l’on s’approche, que l’on regarde, que l’on touche, qu’on prenne en main leur œuvre et qu’on leur dise dans un sourire ce qu’on en pense ! Un régal pour tous les amoureux des livres ! Mon porte monnaie fait un peu la tête en sortant mais je le rabroue vite au regard du futur plaisir qui s’entasse dans mon sac ! Je ne suis pas certaine d’être autant accro si un jour je me retrouve dans le salon du livre : numérique ! J’aime tant l’odeur du livre, la douceur du papier et les rangées décalées des rayons de ma bibliothèque où les livres, sages le jour, se racontent la nuit leurs histoires de papier ! 

07 août 2015, Aujourd’hui coule

Journée bateau et sans plaisanter, je suis très heureuse qu’il n’ait pas coulé !

Temps un peu maussade, vent sur la coursive, plein de monde à l’aller, peu de monde au retour, débarquement de passagers sur une île, nous préférons rester à bord et retourner sur notre île dorée après avoir contourner le fort Boyard et avoir encore en tête les quelques notes de la musique de l’émission ! Donc pas de touché coulé, ouf ! Par contre une journée bien Cool comme on les aime en vacances ! 

06 août 2015, Aujourd’hui violet

Violet comme le ciel quand il sonne le réveil de la lune et oblige le soleil à se coucher à son opposé, violet, comme ce parasol qui nous protège des rayons qui ont déjà cramé mon nez qui sous peu de temps va virer au violet… Violet, comme les stries des coquillages sur le sable qui se cachent sous nos pas… violet, comme les aubergines qui se mêlent à notre ratatouille du jour, violet, comme le maillot de bain qui traîne sur l’étendage… Violet quoi ! 

05 août 2015, Aujourd’hui offre spéciale

Offre spéciale sur la plage de Trousse chemise, le soleil fait des promos avec une mer en retrait qui dévoile tout doucement le banc des bûcherons… Il met à notre service un manège naturel où nulle attente, nul billet, juste le sourire et c’est parti ! Nous n’avons qu’à nous laissé porter par le courant pour finir le tour dans les algues et atterrir sur le sable… un, deux, trois, on refera autant de tours qu’on le souhaite, c’est une offre spéciale que nous donne la marée pour notre plaisir et juste pour quelques rires ! On s’en donne à cœur joie et on remercie le ciel, mais surtout la lune de nous offrir toutes ces promotions qui nous régalent autant les yeux que les papilles lors de la pêche à pieds des palourdes que nous avons dégustées à la crème hier au soir… Une super offre spéciale de bonheur, pourvu qu’elle n’ait pas de limite dans la durée !

04 août 2015, Aujourd’hui virilité

Alors la, côté virilité, sur l’île on est gâté ! Entre la plage où les bonshommes paradent en gonflant leurs muscles, entre le marché où les marchands nous font de l’œil pour nous vendre chapeaux et petites robes, entre le vent qui nous pousse et soulève nos chemises neuves, entre le soleil qui nous fait constamment de l’œil comme les marchands des marchés quotidiens, entre les oiseaux mâles qui dansent devant les femelles dans le fier de ces lieux, entre mon homme qui roule les mécaniques dans sa nouvelle chemise rouge, entre les vélos qui se la pètent tous un peu plus… et même ce Monsieur patate qui de ses doux regards cherche à me séduire ! Bien oui, côté virilité, sur cette île, nous les filles…. on est des gâtées…. 

03 août 2015, Aujourd’hui phrases entendues

Discussion à bâton rompu sur tout ce que l’esprit reposé nous offre à débattre. Des phrases entendues mais pas vraiment retenues, des rires prolongés difficile à calmer, des lignes lues de livres de poche de l’été, des programmes discutés, des propositions de fêlés, des partages d’opinion jamais très éloignés, des oppositions juste pour la forme… tout ce joyeux vacarme pour le temps d’un repas, c’est aussi ça les vacances ! 

02 août 2015, Aujourd'hui horizontales et verticales

A droite, à gauche, on pédale, on tourne, on cherche aussi, les routes sont toutes horizontales, parallèles, et dans le dédale des rues de ce village nous visitons à son insu toutes ses couleurs persuadés que celui qu’on suit sait où il nous mène. Mais l’inverse est égale à la proportionnelle de son ignorance et les rires fusent, les cartes se déplient, les langues se délient jusqu’à ce qu’enfin cette plage apparaisse juste devant nos yeux, cette belle étendue bleue va devenir pour quelques jours notre destination préférée. A la verticale, le soleil nous caresse, nous régale et nous rend dorés comme notre île préférée !