Et bien difficile d’avoir un
moment de solitude ce samedi. Levée à 5 h 30 du matin pour partir sur Annecy
avec 3 autres personnes pour une réunion de préparation d’un voyage humanitaire
au Burkina Fasso. Donc pas moyen de se trouver seule ce qui n’est pas pour me
déplaire. Ceci dit, même si minuit avait déjà sonné depuis presque trois
heures, le moment de solitude fut lorsque j’ai entendu mon chien aboyer et
taper contre la porte, alors que mon fils l’avait enfermé, et que j’ai dû me
lever et descendre les marches en tenue d’Eve pour aller le délivrer afin qu’il
n’ameute pas la maison entière…
Tu vois qu'on peut quand même parler, quand on n'a rien à dire ?
RépondreSupprimerC'est parfois le propre de l'écrivain... on trouve toujours !
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