Voilà c’est simple, il suffit de trouver la clé dans le
bocal… celui que tu vois à travers la cloison, il ne reste qu’à passer sans
problème le labyrinthe et monter la montagne du côté latérale puis revenir à
droite et tourner sur le côté, passer la
main au loin juste dans la travée… et ouvrir un système dès que tu auras
trouver le code pour faire pivoter le mécanisme qui donnera l’ouverture dans le
mur devant toi… tu vois c’est très facile, avance encore un peu de 100 ou 1000 kilomètres et approche de cette fenêtre où tu
vois à travers le bocal qui renferme la
clé à l’intérieur, celle qui pourra certainement ouvrir le cœur de ce cerveau
qui mélange si bien tout ce qui entre dedans sans y être invité tout ce qui se prend
à être une pensée… et forme ce méli-mélo de phrases de mots de sons à composer
sans y faire attention. !
Tu vois c’est simple et c’est comme ça qu’il faut faire… se
hisser sur la pointe des pieds ou de l’hémisphère et porter dans son cœur, ou
faire le plein des poches tous ces jolis mystères qui parfois nous déroutent,
qui souvent nous envoûtent, et fait que nos tourments ressemblent à des géants
qui nous marchent dessus tous les jours un peu plus… voilà, ainsi c’est
possible de gagner de l’avant en retrouvant la clé cachée dans le bocal, si tu
peux l’attraper alors tout redevient normal et c’est de l’autre côté que passe
l’amiral… l’amiral de ce bateau qui nous conduit à ce bocal… l’ami qui râle
sous son chapeau parce que tu as lâché la barre, et celui qui trouves que tu as
du culot de te croire le Graal
alors que tu ne cesses de chercher un bocal….
Avec une clé dedans qui t’ouvrira enfin le cerveau des géants qui te mangent
sans fin… sans faim et sans répit ils veulent à tout prix trouver avant toi la
clé du paradis…. Et tous ces mots, toutes ces phrases et ces sons ne seront
plus que chanson dans ce nouveau pays qu’un jour tu vas trouver de l’autre côté
du lit où tu t’endors serein, persuadé que demain tu mettras enfin la main sur
cette maudite clé qui ouvre une à une les portes de la vie…
Tu vois c’est simple comme bonjour et tu sauras enfin ce que
veut dire toujours….
:)ce n'est pas le paradis qui est perdu, c'est juste la clef qui y mène alors (note que ça cadre avec les livres sur le cerveau que je lis).
RépondreSupprimer(Merci, pour tes petits mots de réconforts, des bises).
Un joli délire que je découvre...tu as de la fantaisie en toi, Prudence. Comme des petits électrons libres qui ne demandent qu'à s'épanouir...
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