Un peu, beaucoup,
Passionnément,
à la folie,
Comme une marguerite
Elle se déshabille,
Sans se soucier
De sa conduite.
Comme une Marguerite
A nouveau elle quitte
Tout ce qui la pare
En faisant la nique
A tous ces regards…
Cette Marguerite
Qui ainsi s’effeuille
D’un geste agite
Sa jupe portefeuille
Qui soudain glisse glisse…
Arrive aux chevilles
Et vole comme une torpille…
Allant s’exploser sur le pauvre nez
Du bedeau passant très intéressé
Par la belle Marguerite déshabillée…
Sans aucun pétale
Sans plus de tissu
D’une danse estivale
Marguerite est nue…
Cela me rappelle la chanson de Brassens...
RépondreSupprimerla petite
marguerite est tombée...
Bravo pour cette jolie fleur.
Que de pétales qui s'envolent au gré du vent... en chantant ou en rimant... bisous ma Célestine
Supprimerça me rappelle que j'ai joué un jour les marguerites à mon insu en traversant le passage piéton, ma jupe porte feuille s'est dénouée... à la plus grande joie de l'automobiliste qui s'était arrêté : la honte des uns fait le rince l'oeil des autres ;)
RépondreSupprimerEn effet voilà un automobiliste qui a du être bien content de la situation.... ne jamais porter une jupe porte feuille quand on traverse une route... bisous et merci de ton passage chez moi...
SupprimerVenant du Samedi... je suis passé (sans faire trop de bruits, j'espère), jeter un œil sur tes feuillets. J'y reviendrai...
RépondreSupprimerMerci de ton passage Tiniak, et tu peux faire plus de bruits, je ne t'en voudrais pas, au contraire...
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